À propos

Depuis l'âge de 12 ans environ,  j'ai l'immense bonheur de faire des photos.

Suite à un concours (de circonstances) dans la vénérable revue "Pif Gadgets", j'ai reçu un drôle de bidule en plastique dans lequel on pouvait charger une pellicule 24x36 qui permettait de faire de "vraies photos". Cet appareil improbable permettait de choisir le temps de pose et de changer le diaphragme.  Incroyable !

Ensuite, après maintes manipulations hasardeuses qui à l'époque coûtaient quand même la peau du cul (l'impôt développement), j'ai eu en ma possession quantité de boitiers argentiques, tous plus beaux les uns que les autres, qui m'ont permis, avec la lecture de la fantastique revue "Chasseur d'images" de parfaire ma technique. Mais cela coûtait toujours la peu du ???? ........ cul (merci à ceux qui suivent).

De fil en aiguilles, j'ai connu les joies du développement et des tirages noirs et blancs avec mon petit labo perso, toujours plus de boitiers, leurs reventes (parfois ils faut des sous pour manger aussi), les galères quand j'ai découvert qu'il fallait faire étalonner le posemètre car les fabricants de piles de l'époque n'avaient avertis personnes... Bref les joies de l'argentique qui coûtait toujours inlassablement la peau du c.... vous connaissez la suite !

Puis le numérique est arrivé. Adieu vieilles habitudes, l'enfant prodigue est arrivé... Alléluia !!!!

Et bin non pas vraiment au début !

Échaudé par de multiples galères dans mon milieu professionnel (la PAO et le MacIntosh des années 90, cela vous parle ?!), j'ai été comme beaucoup d'autres réticent devant cette p...... de technologie bouffeuse d'emplois et de talents.

Et puis un jour, j'ai acheté une caméra numérique Sony qui faisait aussi des photos. Une merveille ! Ont suivi un compact, puis mon premier réflex APS C.

Désormais je navigue avec de superbes hybrides Olympus (ma marque de prédilection déjà en argentique) et je savoure le fait que la photo ne coûte plus la peau du c.... (du quoi ?).